Le gouvernement a réglé le «problème» qu'il avait identifié dans le projet de loi sur la traite de personnes et en déposera un nouveau au début 2017, a confirmé le premier ministre Justin Trudeau. Des dispositions entourant les peines minimales auraient pu résulter en des pénalités beaucoup trop sévères pour être conformes à la Charte canadienne des droits et libertés, a-t-il indiqué à La Presse canadienne. Le gouvernement a trouvé la solution et sera en mesure de l'appuyer et aller de l'avant avec ce projet de loi.